SUR LES FALAISES PRINTANIERES D’ETRETAT

Sur les falaises printanières d’Etretat

Je rêve au vent et à la pluie de Septembre.

Une apprentie philosophe me demande ce que ce paysage m’inspire

A elle c’est le sentiment de notre petitesse

Et le souvenir d’un roman de jeunesse

Où un jeune Sicilien vivait sur des falaises en accord total avec la nature.

Pendant ce temps, deux autres jeunes citadines assises face à la mer qu’elles ne regardent pas

Des écouteurs sur les oreilles se trémoussent

Mais le flow de leur jeunesse s’accorde étrangement avec celui éternel des flots cinquante mètres plus bas.